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Le marchand d'armes WH e.K. propose :
Robar & de Kerckhove, BREVETTE MELIOR M1909, 6,35 BROWNING
En 1910, probablement alors que son état de santé commençait à se détériorer, Jean Louis Joseph Robar a transmis la direction de l'entreprise à son fils, Louis Servais Hubert Robar. En 1912, à l'âge de 54 ans, Jean Louis Joseph Robar est décédé et son fils Louis Servais Hubert Robar est devenu co-propriétaire de l'entreprise avec Louis de Kerckhove. L'entreprise a donc été connue sous le nom de Robar Fils & L. De Kerckhove et a exercé sous ce nom de 1910 à 1926. Le nom commercial L. Robar Fils & L. de Kerckhove apparaît dans un certificat de marque du 14 janvier 1914 et représente le nom commercial « Melior » au-dessus des initiales « RK ». « Melior » est latin pour « meilleur » et pourrait également être traduit par « supérieur ».
Les pistolets Melior ont été fabriqués en 1908, mais ces pistolets n'ont pu être commercialisés en Belgique que jusqu'à l'octroi des brevets étrangers de Henri Rosier. Ainsi, le premier lot n'avait pas de numéro de brevet ni de marquage d'exportation. Ces pistolets avaient « M ELIOR » gravé sur le côté gauche du boîtier du ressort récupérateur et un monogramme « R&K » (Robar & de Kerckhove) sur les plaquettes de crosse.
Comme mentionné, Janssen Fils et Cie était le principal représentant commercial de Robar & de Kerckhove et distribuait également des pistolets en gros à d'autres entreprises en dehors de la Belgique. La société Adolf Frank Hamburg proposait dans son catalogue ALFA de 1911 les pistolets dans les deux calibres.
L'arme correspond à la description du brevet mentionné. Le boulon ou bloc de fermeture se déplace d'avant en arrière dans le cadre et possède une extension supérieure dans laquelle la tige de guidage du ressort récupérateur est vissée. L'extension comporte 15 crans verticaux fins en forme de triangle sur une plaque surélevée à l'arrière, afin de faciliter le retrait du bloc de fermeture pour charger une cartouche. Le percuteur et son ressort sont maintenus dans le bloc de fermeture par un bouchon riveté à l'arrière.
* Profitez de la possibilité de voir en magasin. Les descriptions d'état sont toujours très objectives !
* Toutes les informations sans garantie !
Danger de mort par blessure par balle
Lors de la manipulation de l'arme chargée, un tir accidentel est possible.
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(Afficher la description dans la langue d'origine)Der Waffenhändler WH e.K. bietet an:
Robar & de Kerckhove, BREVETTE MELIOR M1909, 6,35 BROWNING
Im Jahr 1910, wahrscheinlich als sich sein Gesundheitszustand zu verschlechtern begann, übergab Jean Louis Joseph Robar die Leitung des Unternehmens an seinen Sohn, Louis Servais Hubert Robar. 1912, im Alter von 54 Jahren, Jean Louis Joseph Robar starb und sein Sohn Louis Servais Hubert Robar wurde zusammen mit Louis de Kerckhove Miteigentümer des Unternehmens. Daher wurde das Unternehmen als Robar Fils & L. De Kerckhove bekannt und firmierte von 1910 bis 1926 unter diesem Namen Der Firmenname L. Robar Fils & L. de Kerckhove erscheint in einem Markenzertifikat vom 14. Januar 1914 und stellt den Handelsnamen „Melior“ über den Initialen „RK“ dar. „Melior“ ist lateinisch für „besser“ und könnte auch mit „überlegen“ übersetzt werden.
Melior-Pistolen wurde 1908 hergestellt, allerdings durften diese Pistolen in Belgien nur bis zur Erteilung der ausländischen Patente von Henri Rosier vermarktet werden. Daher die Das erste Los hatte keine Patentnummer oder Exportkennzeichnung. Diese Pistolen hatten „M ELIOR » eingraviert auf der linke Seite des Rückholfedergehäuses und ein „R&K“-Monogramm (Robar & de Kerckhove) auf den Griffschalen.
Wie erwähnt, war Janssen Fils et Cie der Haupthandelsvertreter für Robar & de Kerckhove und vertrieb auch Pistolen im Großhandel an andere Unternehmen außerhalb Belgiens. Die Firma Adolf Frank Hamburg bot in seinem ALFA-Katalog von 1911 die Pistolen in beiden Kalibern an.
Die Waffe entspricht der Beschreibung im genannten Patent. Der Bolzen oder Verschlussblock bewegt sich im Rahmen hin und her und hat eine obere Verlängerung, in die die Führungsstange der Rückholfeder eingeschraubt ist. Die Verlängerung verfügt über 15 feine, dreieckig geschnittene vertikale Zacken in einer erhabenen Platte an der Rückseite, um das Zurückziehen des Verschlussblocks zum Laden einer Patrone zu erleichtern. Der Schlagbolzen und seine Feder werden im Verschlussblock durch einen verstifteten Stecker an der Rückseite gehalten.
* Nutzen Sie die Möglichkeit zur Ansicht im Ladengeschäft. Zusandsbeschreibungen sind immr sehr objektiv!
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Beim Umgang mit der geladenen Waffe ist eine unbeabsichtigte Schussauslösung möglich.
> Benutzen Sie die Waffe erst, wenn Sie diese Anleitung des Herstellers vollständig gelesen und verstanden haben.
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