Pfeffer-KO - 40 ml Jet
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Description de l'article :
Sprays de défense efficaces contre les humains et les animaux
Le moyen de choix sous l'aspect de la proportionnalité
Des conceptions différentes sur la proportionnalité en matière de légitime défense et d'autodéfense ont conduit, de la part des personnes potentiellement menacées, souvent des femmes et des adolescents, à une demande accrue de moyens de défense appropriés. L'une de ces alternatives est ce que l'on appelle les sprays au gaz lacrymogène, également appelés sprays de défense, sprays de protection ou sprays irritants. L'expression "gaz lacrymogène" est trompeuse, car les substances actives autorisées ne sont pas des gaz, mais exclusivement des solides cristallins ou des liquides qui sont utilisés sous forme de spray.
1. Propriété requise
de tels sprays est la protection efficace de la personne attaquée, avec le moins de perturbation physique possible pour l'agresseur. Cette restriction peut sembler absurde au premier abord, mais elle est tout à fait justifiée après plusieurs rapports de procès en notre possession, selon lesquels la victime a soudainement été estampillée comme coupable.
Que signifie "proportionnel" en matière d'autodéfense ? Voici trois cas de test. Cinq voyous harcèlent M. Müller dans une zone piétonne, exigeant de l'argent et des cigarettes. Aucune aide d'autres passants n'est à attendre. Mme Meier se promène seule dans un parc avec un bébé, deux hommes s'approchent, deviennent insistants et la touchent... Un toxicomane met un couteau sur le ventre du vieux retraité Schultz et exige de l'argent. Supposons que les trois personnes harcelées possédaient légalement une arme à feu, quand l'utilisation de celle-ci serait-elle "appropriée" ?
M. Müller peut-il dégainer son arme pour se défendre contre les voyous ? Peut-il tirer s'ils continuent à l'attaquer ? Mme Meier doit-elle se laisser toucher si les deux lui expliquent qu'ils ne voulaient qu'un peu... M. Schultz peut-il tirer sans avertissement préalable s'il sent la pointe du couteau sur sa peau ? Dans tous les cas : issue incertaine, le procureur et le juge décident sur le papier qui aurait pu agir comment dans quelle situation.
Dans les cas décrits, et pas seulement dans ceux-ci, la défense avec une arme à feu pourrait être mortelle pour l'agresseur. Avec un spray de défense approprié, une protection efficace aurait pu avoir des conséquences beaucoup moins graves.
Qu'est-ce qu'un spray de défense approprié ?
2. Exigences physiques pour un spray de défense
Dans l'annexe 2 du 1er règlement sur les armes, les exigences pour les sprays irritants sont décrites. Selon cela, les sprays irritants peuvent être pulvérisés sous forme gazeuse, en aérosol ou en solution, mais doivent avoir une portée minimale de 1,5 m. Le brouillard ou le jet de spray ne doit pas dépasser le double du diamètre d'un visage à une distance de 1,5 m. En règle générale : plus le jet de spray est "humide" et plus le taux de sortie lors de la pulvérisation est élevé, plus le spray est efficace et moins il est sensible au léger vent. Les sprays de défense BALLISTOL répondent à ces exigences.
3. Choix de l'irritant
Actuellement, le Bureau fédéral de la criminalité autorise à la vente libre uniquement les sprays contenant un maximum de 80 mg de CS (2 chlorobenzylidène malonitrile) ou de CN (oméga-chloracétophène) ou des sprays au poivre dits ; l'efficacité de cette quantité est prouvée.
Aujourd'hui, les sprays au poivre sont de nouveau "à la mode", après avoir été propagés aux États-Unis comme un spray de défense soi-disant inoffensif. Le concentré de piment contenu est généralement désigné sous le nom d' "Oleoresin Capsicum", abrégé en "OC", et est un extrait des piments forts. Ce développement a été favorisé par la responsabilité du produit, selon laquelle l'utilisation de CN ou de CS pourrait entraîner de fortes réclamations en dommages-intérêts en raison de dommages simulés et de conséquences à long terme. Pour les concentrés de poivre, cela n'est pas craint aux États-Unis, car le concentré est également utilisé dans des aliments épicés à des concentrations beaucoup plus faibles. Néanmoins, une personne asthmatique touchée peut également subir une crise d'asthme, tout comme avec les irritants CS ou CN.
4. Données toxicologiques sur CS, CN et OC
Les deux irritants ont été étudiés en profondeur au cours des trente dernières années pour leur effet toxicologique. Il s'est avéré que l'irritant "classique" CN est nettement plus toxique que le CS.
Administré par voie orale, la LD 50 (dose létale pour 50 % des animaux d'essai) pour le CS chez les rats était d'environ 200 mg/kg, tandis que pour le CN, elle était inférieure à 100 mg/kg. Des solutions de 4 % de CN ont provoqué des dommages permanents à la cornée de l'œil, tandis que cela n'est survenu avec le CS qu'à partir de 10 %.
Selon une étude de la clinique ophtalmologique universitaire de Münster, le CN peut entraîner un opacification permanente de la cornée chez l'homme, ce qui n'est pas le cas pour le CS. Des études sur des rats et des lapins ont montré que le CS, même à des concentrations plus élevées (jusqu'à 60 mg/m³ d'air respiré), n'était pas embryotoxique ou mutagène. En plus de son efficacité, ces résultats favorisent l'utilisation du CS.
L'irritant OC (concentré de poivre ou de piment, Oleoresin Capsicum), que nous utilisons, a une qualité alimentaire. On peut donc également assaisonner un goulasch copieux avec. En conséquence, il ne laisse aucun dommage permanent aux yeux et aux voies respiratoires. Néanmoins, il agit de manière convaincante en raison de l'irritation bronchique et de la toux ainsi que des larmes.
5. Mode d'action et premiers secours en cas de mauvaise utilisation
En règle générale, lors de l'utilisation de DEFENOL, le visage de l'agresseur est touché dès le premier jet de spray. Les yeux non protégés se ferment réflexivement en raison de la douleur brûlante qui se manifeste immédiatement, selon la quantité de CS, il peut y avoir un clignement des yeux qui peut durer plusieurs minutes. Sur la peau du visage, le CS provoque également une douleur brûlante, il en va de même pour les muqueuses de la bouche et du nez. La personne touchée a du mal à respirer, bien que l'apport en oxygène du corps soit assuré. Cette sensation subjective de manque d'air est provoquée par la brûlure de l'irritant, la personne touchée essaie d'atténuer la douleur en respirant profondément, mais cela fait pénétrer l'irritant encore plus profondément dans les voies respiratoires et aggrave les symptômes. Dans de rares cas, une crise peut être déclenchée chez les personnes asthmatiques.
Selon la durée du spray, la distance et la quantité d'irritant, les plaintes décrites peuvent durer jusqu'à trente minutes, dans la plupart des cas, une amélioration sensible se produit après 5 à 10 minutes. L'effet irritant diminue, la sensation de brûlure s'estompe, seules les larmes continuent de couler et la sécrétion nasale reste augmentée pendant un certain temps. En règle générale, la personne touchée est de nouveau pleinement opérationnelle après une heure, aucun dommage permanent n'a été prouvé, même si dans certains cas, des agresseurs ont tenté d'obtenir des dommages-intérêts et même une pension d'invalidité par voie judiciaire.
Après une mauvaise utilisation, un lavage immédiat avec beaucoup d'eau froide est le meilleur soulagement, un lavage des yeux avec un jet doux d'eau froide réduit considérablement la durée de la souffrance. Il est impératif de changer rapidement de vêtements, car les particules de CS adhérentes peuvent encore agir pendant des jours.
Le meilleur est le nettoyage à sec des vêtements, de cette manière toutes les traces de CS sont éliminées. Si le CS a été pulvérisé dans des espaces fermés, seule une aération intensive aide, éventuellement un essuyage humide des meubles, car le CS se hydrolyse avec l'eau, les produits de dégradation ne sont plus irritants.
Les personnes fortement ivres ne réagissent ni au CN ni au CS, mais aussi les sprays au poivre ne fonctionnent que de manière limitée. Selon le degré d'ivresse, ces personnes peuvent supporter une "pleine charge" sans montrer d'effet. Dans un état d'ivresse, la perception de la douleur est fortement réduite, voire totalement absente. Seuls les sprays au poivre provoquent une réaction réflexe des voies respiratoires, de sorte que la personne touchée peut "manquer d'air", mais ce n'est pas obligatoire.
Il peut donc arriver qu'une personne fortement ivre ne ressente pas une fracture de jambe ou une autre blessure grave. D'autre part, ces personnes alcoolisées ne sont plus capables de commettre des actes de violence, car leur capacité de mouvement est fortement limitée. L'utilisation d'un spray irritant n'est donc pas nécessaire.
Les chiens réagiraient soi-disant plus fortement au CN qu'au CS. Nous n'avons pas pu confirmer cette opinion. Dans tous les cas, lors de la défense contre des chiens agressifs, il faut veiller à ce que la personne attaquée reste d'abord calme et, en cas d'urgence, pulvérise précisément sur les yeux, le nez et les babines. L'irritant adhérant au pelage n'a aucun effet. En règle générale, le chien agressif cherche alors à fuir en hurlant, lorsque les yeux, le museau et les babines sont touchés.
Avec un concentré de piment de Cayenne naturel à la dose maximale, Oleoresin Capsicum (OC) de qualité alimentaire
Avec 11 % d'OC et plus de 2,5 millions de SHU, le plus puissant "bâton biologique" qui fonctionne dans toutes les circonstances !
Portée de pulvérisation jusqu'à 4 mètres
En Allemagne, un spray au poivre est considéré comme un spray de défense contre les animaux, qui ne doit pas être utilisé intentionnellement contre les humains. Dans d'autres pays, il peut y avoir des réglementations différentes selon la législation nationale, qui autorisent également les sprays au poivre à être utilisés contre les humains ou les interdisent totalement.
En Allemagne, le spray au poivre peut être acheté sans restriction et sans preuve d'âge.
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Pfeffer-KO - 40 ml Jet
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Artikelbeschreibung:
Effektive Verteidigungssprays gegen Mensch und Tier
Das Mittel der Wahl unter dem Aspekt der Verhältnismäßigkeit
Unterschiedliche Auffassungen über die Verhältnismäßigkeit bei Notwehr und Selbstverteidigung führten von Seiten der potentiell Gefährdeten, häufig Frauen und Teenager, zu verstärkter Nachfrage nach geeigneten Verteidigungsmitteln. Eine dieser Alternativen sind die so genannten Tränengassprays, auch Verteidigungssprays, Abwehrsprays oder Reizstoffsprays genannt. Der Ausdruck "Tränengas" ist irreführend, da es sich bei den erlaubten Wirkstoffen nicht um Gase handelt, sondern ausschließlich um kristalline Feststoffe oder Flüssigkeiten, die in Sprayform zur Anwendung kommen.
1. Geforderte Eigenschaft
solcher Sprays ist der effektive Schutz der/des Angegriffenen, bei möglichst geringer physischer Beeinträchtigung des Angreifenden. Diese Einschränkung erscheint zunächst absurd, ist jedoch nach einigen uns vorliegenden Prozessberichten, nach denen das Opfer plötzlich zum Täter gestempelt wurde, durchaus angebracht.
Was heißt denn "verhältnismäßig" in der Selbstverteidigung? Dazu drei Testfälle. Fünf Rowdys pöbeln in einer Fußgängerzone Herrn Müller an, fordern Geld und Zigaretten. Hilfe von anderen Passanten ist nicht zu erwarten. Frau Meier fährt im einsamen Park ein Baby spazieren, zwei Männer nähern sich, werden zudringlich und betatschen sie ... Ein Drogenabhängiger setzt dem alten Rentner Schultz ein Messer an den Bauch und verlangt Geld. Gesetzt den Fall, alle drei Bedrängten wären im legalen Besitz einer Schusswaffe, wann wäre der Gebrauch davon "angemessen"?
Darf Herr Müller die Waffe ziehen, um sich die Rowdys vom Leib zu halten? Darf er abdrücken, wenn diese trotzdem auf ihn eindringen? Muss sich Frau Meier betatschen lassen, wenn ihr die beiden erklären, sie wollten ja nur ein bisschen... Darf Herr Schultz ohne vorherige Warnung schießen, wenn er die Messerspitze auf der Haut fühlt? In allen Fällen: Ausgang ungewiss, Staatsanwalt und Richter entscheiden am grünen Tisch, wer wie in welcher Situation hätte handeln dürfen.
In den geschilderten Fällen, und nicht nur in diesen, wäre die Verteidigung mit einer Schusswaffe unter Umständen für den/die Angreifer tödlich. Mit einem geeigneten Verteidigungsspray hätte unter Umständen ebenfalls effektiver Schutz weitaus mildere Folgen gehabt.
Was ist nun eigentlich ein geeignetes Verteidigungsspray?
2. Physikalische Anforderungen an ein Verteidigungsspray
In der Anlage 2 der 1. Verordnung zum Waffengesetz werden die Anforderungen an Reizstoffsprays beschrieben. Danach können die Reizstoffsprays gasförmig, als Aerosol oder in gelöster Form versprüht werden, müssen aber eine Mindestreichweite von 1,5 m besitzen. Sprühnebel bzw. Sprühstrahl sollten auf eine Entfernung von 1,5 Metern nicht mehr als das Doppelte eines Gesichtsdurchmessers betragen. Als Regel gilt: je "nasser" der Sprühstrahl und je höher die Ausbringrate beim Sprühen, desto wirksamer und weniger anfällig ist das Spray auch bei leichtem Gegenwind. BALLISTOL VErteidigungssprays erfüllen diese Anforderungen.
3. Wahl des Reizstoffes
Derzeit werden vom Bundeskriminalamt für den freien Verkauf nur Sprays mit maximal 80 mg CS (2 Chlorbenzylidenmalodinitril) bzw. CN (omega-Chloracetophen) oder sog. Pfeffer-Sprays zugelassen; die Wirksamkeit dieser Menge ist erwiesen.
Heute sind wieder Pfeffer-Sprays „in“, nachdem diese in den USA als sogenanntes unschädliches Abwehrspray propagiert wurden. Das enthaltene Paprikakonzentrat wird in der Regel als ´Oleoresin Capsicum´, abgekürzt, ´OC´, bezeichnet und ist ein Extrakt aus den scharfen Parprikaschoten. Gefördert wurde diese Entwicklung durch die Produkthaftung, derzufolge bei Einsatz von CN oder CS hohe Schadensklagen aufgrund vorgetäuschter Schäden und Spätfolgen befürchtet werden. Bei Pfefferkonzentraten wird dies in den USA nicht befürchtet, da das Konzentrat in wesentlich geringerer Konzentration auch in scharf gewürzten Speisen verwendet wird. Dessen ungeachtet kann jedoch ein damit getroffener Asthmatiker ebenso wie beim Reizstoff CS oder CN einen asthmatischen Anfall erleiden.
4. Toxikologische Daten zu CS, CN und OC
Die beiden Reizstoffe wurden in den vergangenen dreißig Jahren eingehend auf ihre toxikologische Wirkung untersucht. Dabei erwies sich der "klassische" Reizstoff CN als deutlich toxischer als dies bei CS der Fall ist.
Oral verabreicht betrug die LD 50 (tödliche Dosis bei 50 % der Versuchstiere) bei Ratten für CS ca. 200 mg/kg, für CN dagegen unter 100 mg/kg. Lösungen von 4 % CN riefen permanente Hornhautschädigungen am Auge hervor, wogegen dies bei CS erst ab 10 % der Fall war.
Nach einer Studie der Universitätsaugenklinik Münster kann CN am menschlichen Auge zu einer bleibenden Hornhauttrübung führen, nicht dagegen CS. Untersuchungen an Ratten und Kaninchen zufolge erwies sich CS auch in höheren Konzentrationen (bis zu 60 mg/cbm Atemluft) nicht embryo oder erbgutschädigend. Neben der Wirksamkeit favorisieren diese Befunde die Verwendung von CS.
Der Reizstoff OC (Pfeffer- bzw. Paprika-Konzentrat, Oleoresin Capsicum), den wir verwenden, besitzt Lebensmittelqualität. Man kann damit also auch ein deftiges Gulasch würzen. Dementsprechend hinterlässt es auch keine bleibenden Schäden an Augen und Atemtrakt. Trotzdem wirkt es, bedingt durch Bronchial- und Hustenreiz sowie Tränenfluss, überzeugend sicher.
5. Wirkungsweise und Erste Hilfe bei Missbrauch
In der Regel wird bei der Anwendung von DEFENOL bereits beim ersten Sprühstrahl das Gesicht des Angreifers getroffen. Ungeschützte Augen schließen sich durch sofort entstehenden brennenden Schmerz reflektorisch, je nach CS-Menge kommt es zu einem Lidschluss, der mehrere Minuten anhalten kann. Auf der Gesichtshaut erzeugt CS ebenfalls einen brennenden Schmerz, gleiches gilt für Mund und Nasenschleim-häute. Der Betroffene ringt nach Luft, obwohl die Sauerstoffversorgung des Körpers gewährleistet ist. Diese subjektive Atemnot wird durch das Brennen des Reizstoffes hervorgerufen, der Betroffene versucht durch tiefes Einatmen instinktiv den Schmerz zu mildern, dabei gerät jedoch der Reizstoff noch tiefer in die Atemwege und verstärkt die Symptome. In seltenen Fällen kann bei Asthmatikern ein Anfall ausgelöst werden.
Je nach Sprühdauer, Abstand und Reizstoffmenge können die geschilderten Beschwerden bis zu dreißig Minuten andauern, in den meisten Fällen tritt nach 5 bis 10 Minuten spürbare Besserung ein. Die Reizwirkung lässt nach, das brennende Gefühl schwindet, lediglich die Augen tränen noch nach und auch die Nasensekretion bleibt für einige Zeit verstärkt. In der Regel ist der Betroffene nach einer Stunde wieder voll einsatzfähig, bleibende Schäden wurden nicht nachgewiesen, auch wenn in einigen Fällen Angreifer im Gerichtsverfahren Schmerzensgeld und sogar Arbeitsunfähigkeitsrente durchsetzen wollten.
Nach Missbrauch ist sofortiges Waschen mit viel kaltem Wasser die beste Linderung, Augenspülung mit einem weichen Strahl kalten Wassers verkürzt die Leidenszeit deutlich. Unbedingt sollte man auf raschen Kleiderwechsel achten, da festhaftende CS Partikel noch nach Tagen wirken können.
Am besten ist die chemische Reinigung der Wäsche, auf diese Weise werden alle CS-Spuren beseitigt. Wurde CS in geschlossenen Räumen versprüht, dann hilft nur intensives Lüften, evtl. feuchtes Wischen der Einrichtungsgegenstände, da CS mit Wasser hydrolisiert, die Abbauprodukte sind nicht mehr reizend.
Auf stark betrunkene Personen wirken weder CN noch CS, aber auch Pfeffersprays nur eingeschränkt. Je nach Trunkenheitsgrad vertragen diese Personen eine "volle Ladung", ohne Wirkung zu zeigen. Im alkoholisierten Zustand ist das Schmerzempfinden stark bis völlig reduziert. Lediglich Pfeffersprays rufen eine reflektorische Reaktion des Atemtraktes hervor, so daß dem Getroffenen ´die Luft wegbleiben´ kann, aber nicht muss.
So kann es vorkommen, dass eine stark betrunkene Person einen Beinbruch oder eine andere schwere Verletzung überhaupt nicht spürt. Andererseits sind aber derart alkoholisierte Menschen nicht mehr zu Gewalttaten fähig, da ihre Bewegungsfähigkeit stark eingeschränkt ist. Der Einsatz eines Reizstoffsprays ist somit gar nicht notwendig.
Hunde reagieren angeblich auf CN empfindlicher als auf CS. Diese Ansicht konnte von uns nicht bestätigt werden. In jedem Fall ist bei der Abwehr angreifender Hunde darauf zu achten, daß der/die Angegriffene zunächst ruhig stehen bleibt und im Notfall gezielt auf Augen, Nase und Lefzen sprüht. Am Fell haftender Reizstoff zeigt keinerlei Wirkung. In der Regel sucht dann der angreifende Hund jaulend das Weite, wenn Augen, Schnauze und Lefzen getroffen sind.
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In Deutschland zählt ein Pfefferspray zu den Tierabwehrsprays, das vorsätzlich gegen Menschen nicht verwendet werden darf. In anderen Ländern kann es nach Länderrecht abweichende Regelungen geben, die Pfeffersprays allgemein auch zum Einsatz gegen Menschen erlauben oder total verbieten.
In Deutschland darf Pfefferspray ohne Einschränkung und Altersnachweis gekauft werden.
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